Le grand phare de l’île d’Yeu

GALERIES

La galerie de Michel Trouillet

La galerie de Yves Leroy

La galerie de Gilles Perrot

La galerie de Pierre Lesage

Auteur des textes et photos :  Kapistes de la convention île d’Yeu 2023 et club OK Mistral

Textes par M. Trouillet

(articles rédigés sans assistance IA)

Date des prises de vues : septembre

Situation géographique :  Le grand phare ou phare de la petite foule

Histoire du lieu : le phare de la petite foule

Données techniques : GoPro Héro 11 black en auto KAP sur nacelle pendulaire rotative. Autres galeries : camera Insta et compact Ricoh

Type de cerf-volant  OKM:   Delta hongrois (John Havlicek) de 4.80 m d’envergure

Force et direction du vent : brises marines de nord/ouest 15/20 km/h

Altitude des prises de vues : 50 à 150 m

Ce que nous avons aimé :

L’autorisation spéciale de survoler ce lieu proche de l’aérodrome (démarches de l’association kapiste de l’île « le hollandais volant »). L’environnement naturel du phare de construction moderne. Le survol des œuvres de Michel Gressier pour des premiers plans de choix dans la valorisation du site.

Histoire d’une photo

Si les motivations étaient différente pour explorer ce site, au point de diviser (physiquement) le groupe de kapistes, les uns à l’assaut des escaliers du phare et les autres au bout des lignes de leurs cerfs-volants, nous nous sommes finalement tous retrouvés autour des œuvres volantes de Michel Gressier et de ce vertigineux « menhir » de béton, avec nos cerfs-volants et nos nacelles photographiques.

Une cohabitation dans un espace si réduit, autour du phare et des casemates des gardiens (disparus aujourd’hui), que seule une brise légère et régulière a pu permettre cette séance sans télescopages. La prouesse fut certes de ne pas accrocher le phare et ses antennes, malgré des survols proches et audacieux, mais aussi de cadrer l’instant éphémère du survol des œuvres volantes de M. Gressier avec le bon angle et la bonne lumière.

Les Camistes (Gilles et Michel.T ,vidéastes aériens), avec leurs caméras, avaient misé sur le hasard avec des résultats mitigés et quelques rares angles satisfaisants. Par contre, Pierre (le Tahitien) et Yves (le Normand) ont, quant à eux, excellé avec leurs appareils photos aux nacelles radiocommandées et leurs retours vidéos : cadrages parfait et excellence des clichés.

Mais ici aucune compétition dans les modes de prises de vues et le matériel volant, même si la preuve fut apportée que gérer un cerf-volant, une nacelle automatisée et observer l’écran de contrôle nécessite un don d’ubiquité que peu de vivants peuvent revendiquer.

La preuve: un dérouleur avait pris son envol devant son pilote photographe dépité par une fraction de seconde d’inattention. La catastrophe aurait été consommée, si l’un des « camistes » ne s’était jeté sur la ligne partant à la dérive en direction de la mer et en compagnie du cerf-volant, de la nacelle, de l’appareil photo et de tous ses moteurs et émetteurs…

Le sauvetage se terminera dans un éclat de rire de soulagement et, la démonstration fut faîte qu’il est aussi possible de gérer son cerf-volant et sa camera automatique et autonome, tout en portant secours à un collègue photographe volant en péril.

MT

La vidéo du reportage


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