
Galerie















Auteurs photos et vidéos : Convention KAP sur Loire 2024 / club OK Mistral, Gaël Trouillet, Michel Trouillet
Textes articles (rédigés sans assistance IA): Michel Trouillet
Date de la prise de vue : septembre 2024
Situation géographique : Château de Azay le Rideau
Histoire du lieu : Lien vers le site officiel
Données techniques : Canon EOS 90D
Type de cerf-volant : Deltas, pelybox, roloplan, créations originales
Force et direction du vent : vent nul et espace limité et enclavé
Altitude des prises de vues : vol cerf-voliste impossible
Ce que nous avons aimé :
Le château d’Azay le rideau posé sur l’eau au centre d’un parc aux arbres remarquables, le raffinement architectural exceptionnel.
Histoire d’une photo
Nous avons été, certes, bien accueillis par la responsable gestionnaire du site, mais les règles d’accès photographique des bâtiments de France furent drastiques : autorisations formalisées, contrôle des RC (merci à la FFVL), contrat de responsabilité signé et paraphé, endossé par une association déclarée, carte d’identité des intervenants, badge à l’entrée et identification par les gardes, consignes restrictives et interdictions… bref ! Il fallait être motivé.
La date et l’heure de notre intervention ayant été planifiés, nous n’avons pas pu adapter notre venue à la météo, toujours aussi incertaine, depuis le début de cette résidence KAP. Sous un ciel bas et gris et en l’absence totale de vent, nous avons dû adapter le projet : KAP impossible sans vent et sur cet espace enclavé entre bâtiments et arbres centenaires, usage des drones strictement interdit, consignes sécuritaires strictes vis-à-vis des visiteurs…
Que faire ?
Du cerf-volant évidemment ! Nous avons donc monté et étalé tout le matériel volant embarqué pour l’occasion : un roloplan de 3 M2, un cellulaire Pelybox, un Gibi aux allures de petit prince, un Genky de 4m d’envergure et un grand delta John Havlicek. Pour la suite, c’est avec les jambes et les bras que nous avons fabriqué notre propre vent afin de tenter quelques envols laborieux et épuisants, sous l’œil goguenard des touristes (le ridicule n’a jamais tué personne).
Au moins, il en restera quelques photos inédites en ce lieu historique somptueux, elles ne changeront pas l’histoire du site, mais l’aventure valait d’être tentée pour ouvrir, peut-être demain, une porte au retour des cerfs-volants et des kapistes à Azay le Rideau.
MT
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